Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (61)

Alors que je viens de quitter mes deux clients nous roulons vers notre lieu de villégiature et chacune raconte sa nuit, c’est à Véronique de s’expliquer.

Elle est tombée sur un homme qui a passé son temps entre trois petits coups où il la baisait à pleurer, car il avait honte de tromper sa femme.

• Je peux vous expliquer en détail, comment elle est faite, comment elle baise en écartant les cuisses et en attendant qu’il décharge sans aucune fioriture et comme il l’aime, il ne veut surtout pas la faire souffrir en essayant de changer les choses.
• Tu as essayé à l’amener à des jeux érotiques.
• Tu me connais, j’ai bien essayé. Mais sauf me mettre son sexe dans la chatte il a tout refusé.
Je suis sûr qu’en ce moment, il lui téléphone pour lui dire qu’elle est la seule qu’il aime.
Tu vois Marie-Ange moi aussi je me suis fait deux mille euros sans trop de fatigue moi aussi.
• Et toi Fabienne, comment cela c’est passé avec Carl ?
• Sexuellement rien à dire.
Comme à la villa il a su me satisfaire par contre pendant les moments de poses les choses ont été plus durs, il m’a déclaré sa flamme, il voulait que je divorce pour l’épouser.
J’ai eu du mal à lui faire comprendre que j’aimais deux choses, mon mari et surtout ce que vous m’avez fait découvrir la baise avec des clients et ainsi remplir notre bas de laine sans avoir à subir ces tripotés de mioche toute l’année, ma démission comme prof est proche.
Il a eu l’air de comprendre, mais j’espère qu’il continuera à approvisionner l’organisation.
• Rien à craindre ma grande, si tu dois épouser tous les clients qui flashent sur toi tu devras divorcer trois fois par an.
La bigamie est encore interdite en France à ce que je sache.
Si Carl arrête de nous fait travailler, c’est qu’il aura encore beaucoup de choses à apprendre de la vie.

Quant à moi, je leur explique la nuit que je viens de passer, toutes disent que je suis la seule à vivre de telles aventures et que ma bonté me perdra.

Le temps de tous leur expliquer, nous arrivons devant la villa.
Quand nous entrons, une partie de la maison est réveillée.
Odile et Chantal préparent le déjeuner.
Elles nous embrassent et veulent savoir comment cela c’est passé.
Nous nous contentons de leur faire un rapport sans entrer dans les détails. Elles nous servent un café qui nous fait énormément de bien.

Je monte à l’étage des petites. Elles sont toutes les trois dans le même lit, mais pas seul. Jacky et Adrien sont là.
Tous sont mélangés. Il m’est impossible de dire à qui appartient un bras, une jambe, deux jambes.
Le visage des petites me montre les plaisirs qu’elles ont dû avoir entre les bras des deux hommes.
Je m’assois sur le lit et passe ma main entre les jambes d’Anne. Elle ouvre les yeux me voit et me saute au cou.

• Tu t’es bien amusé mon amour.
• Oui, petit cœur, une soirée formidable je te raconterais en détail.
• Quelle heure est-il ?
• Bientôt dix heures !
• Mince le café !
• Laisse, Odile et Chantal s’en sont occupées.
Et vous vous êtes bien amusées.
• Amusées, c’est peu dire, Jacky nous a rejoints et il a été insatiable, surtout quand Adrien est venu se mêler à nos jeux. Ils nous ont tués.
Je me lève, car Sindy doit m’attend !

Aussitôt dit, elle saute au sol, passe sous la douche et s’habille légèrement.
Entre-temps, Jacky s’est réveillé. Il me voit et me tend les bras.

• Christine, tu es là, viens, je t’embrasse.

Je le rejoins, il bande, quel homme est-il, quel monstre sexuel ai-je engendré !
Il me place en levrette et me pénètre sans préliminaire.

• Tu m’excuses, mais le besoin de te baiser lorsque je t’ai vu a été le plus fort. On verra plus tard pour les fioritures.

Aline et Madeleine se réveillent.
La petite se place sous moi et vient me manger le clito.
Madeleine vient devant moi et me met un sein dans la bouche. Vu leurs grosseurs, ma bouche est vite emplie.
Adrien qui a émergé et contemple, la croupe de Madeleine vient derrière elle et lui met son vit dans le fondement.
Jolie figure de style pour celui qui entrerait dans la chambre.
J’en prends plein la chatte et l’ensemble de ce que je subis me fais une fois de plus monter au nirvana. Jacky me remplit.
À la suite de cette nuit et l’argent que j’ai gagné encore une journée qui commence bien.
Sans compter que ce soir, les hardeurs arrivent, je suis fermement décidé à passer de bons moments.

Je me rends sous la douche, récupère mes vêtements et je descends dans ma chambre.
Là, aussi tout parle de lui-même, Virginie est couchée avec Alain, je contour le lit et vient embrasser ma marraine. Elle ouvre les yeux, nous échangeons nos bouches. Alain se réveille.

• Odile est partie.
• Elle est en bas et a préparé le café avec Chantal.
• Je vais les rejoindre.

Il nous laisse.

• Tout s’est bien passé, vous avez toutes été à la hauteur.

Je lui raconte mes péripéties avec mes deux jeunes médecins.

• Continu comme cela et tu pourras bientôt remplacer Brigitte sur R.M.C, l’après-midi.

Je lui explique ce qui est arrivé entre Carl et Fabienne.

• Aucun problème, je verrais Fabienne afin qu’elle évite de culpabiliser.
Il m’est arrivé la même aventure plusieurs fois et n’est perdu qu’un seul client.
Nous verrons rapidement si Carl est fiable et s’il nous signe d’autres contrats.
Dernière chose, le dernier weekend nous prendront un avion pour Paris. Vladimir, notre copain rencontré à Moscou vient en France et m’a demandé pour deux nuits.
J’ai les coordonnés du rendez-vous.
J’ai accepté et tu m’accompagneras il y a un manque de fille sur Paris, ces jours-là.
Nous resterons les derniers jours d’août, il y a assez de conducteurs pour remonter les voitures.
• Je te laisse, je vais voir les hommes pour prévoir les provisions pour les deux jours de tournage.
Je te fais un gros poutou.

La salle est vide, ils sont tous sur les transats à se faire bronzer.
Nous partons au marché, tous les commerçants se plaignent que je me fais trop rare depuis le début des vacances.
Nous remplissons notre frigo et celui de Jacky. Le sexe ça ouvre l’appétit et nous ce week-end nous risquons la surdose.

Le repas et le début de l’après-midi coulent sans problème. Vers seize heures la mer est descendante et avant l’arrivée de la troupe, nous montons le filet de volley.
Le même attroupement se rassemble autour de nous.
Les points comptent peu. La rigolade fait office de règle.
Les spectateurs se délectent de nos seins qui tressautent à chaque fois que nous renvoyons la balle.
Anne est restée sur la terrasse pour faire goûter Sindy.
Katia en profite pour venir jouer avec nous.
Ses petits seins juvéniles m’attirent, mais il faut être raisonnable.
Vers dix-sept heures Alain me signale qu’il y a des personnes sur les marches et sur la terrasse.
Je reconnais tout de suite Tof, ils sont en avance, je les rejoins.

Tous s’excusent d’être en avance, ils ont eu peur d’être en retard à cause des bouchons sur l’autoroute.
Circulation fluide et ils sont là !

• Aucun problème, vous êtes tous les bienvenus.

Je monte jusqu'à ma terrasse. Sébastian et Phil m’embrassent.
À la hauteur du portillon, un homme très grand est devant moi. Tof m’ayant suivi me le présente.

• Yann Scotch, hardeur ayant la plus belle queue du hard français. Après ton anniversaire, nous nous sommes retrouvés sur un tournage à l’Île Maurice. Lors d’une discussion avec lui nous avons parlé du cadeau que nous t’avons fait.
Quand je lui ai dit la grande cochonne que tu étais, il a souhaité venir participer, s’il y a un problème, il repart par le train.
• Comment veux-tu que je refuse la plus belle queue du hard français ? Yann tu es la bienvenue.
Je t’assure que j’ai quelques copines qui vont remonter de la plage et qui risquent de te mettre sérieusement à l’épreuve.
Par contre, je me réserve le droit d’être la première à vérifier si Yann est bien la queue que tu me dis.
• Merci de m’accepter parmi vous, mais gaffe à toi, il y a bientôt vingt-quatre heures que je ma verge est restée dans mon pantalon.

Je fais la connaissance de chacun et chacune et je retrouve tous nos amis sur la terrasse.

• Yann, tout à l’heure nous ouvrirons le weekend avec le tournage de notre première scène pour le film.
• Je suis jaloux, j’espérais avoir la priorité de ton abricot !
• Et pourquoi pas le premier sandwich du weekend ou je serais la tranche centrale ?

La personne suivante que je rencontre est radieuse.

• Malgré ce que tof, Sébastian et Phil m’ont expliqué quand il m’a demandé de réaliser le cadeau qu’il t’avait promis, j’ai eu quelques appréhensions de tourner avec des amateurs un film complet. Il nous arrive souvent de tourner des scènes d’amateurs ou plutôt d’amatrices souhaitant avoir un bon souvenir d’un moment avec le hardeur de leur phantasme à ce que je viens d’entendre, je suis rassuré sur mon actrice principale.
Si tes copines sont aussi libérées que toi, je vais m’éclater.

Il me tend la main, je la saisis, c’est Johnny Biroute…